Titre : | J'avais 12 ans, j'ai pris mon vélo et je suis partie à l'école... | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Sabine Dardenne, Auteur | Editeur : | Oh éditions | Année de publication : | 2004 | Importance : | 232 pages | Format : | 15cm x 24cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-915056-29-7 | Prix : | 18€90 | Note générale : | Un témoignage exceptionnel pour que la voix des victimes soit enfin entendue et que cesse la fascination pour les monstres. | Langues : | Français (fre) | Résumé : | 29 mai 1996, Sabine Dardenne, 12 ans, est enlevée par Marc Dutroux sur le chemin de l'école. Ce monstre a déjà tué quatre enfants.
Ce que va subir Sabine Dardenne est effroyable. Pourtant, après quatre-vingt jours d'horreur, elle va être sauvée de la mort dans des circonstances extraordinaires.
Sabine Dardenne a attendu huit ans pour nous raconter ce qu'elle a subi :
«Je suis l'une des rares survivantes qui aient eu la chance d'échapper à ce genre d'assassin. Ce récit m'était nécessaire et si j'ai eu le courage de reconstituer ce calvaire, c'est avant tout pour qu'un juge ne relâche plus les pédophiles à la moitié de leur peine pour «bonne conduite» et sans autre forme de précaution...» |
J'avais 12 ans, j'ai pris mon vélo et je suis partie à l'école... [texte imprimé] / Sabine Dardenne, Auteur . - [S.l.] : Oh éditions, 2004 . - 232 pages ; 15cm x 24cm. ISBN : 978-2-915056-29-7 : 18€90 Un témoignage exceptionnel pour que la voix des victimes soit enfin entendue et que cesse la fascination pour les monstres. Langues : Français ( fre) Résumé : | 29 mai 1996, Sabine Dardenne, 12 ans, est enlevée par Marc Dutroux sur le chemin de l'école. Ce monstre a déjà tué quatre enfants.
Ce que va subir Sabine Dardenne est effroyable. Pourtant, après quatre-vingt jours d'horreur, elle va être sauvée de la mort dans des circonstances extraordinaires.
Sabine Dardenne a attendu huit ans pour nous raconter ce qu'elle a subi :
«Je suis l'une des rares survivantes qui aient eu la chance d'échapper à ce genre d'assassin. Ce récit m'était nécessaire et si j'ai eu le courage de reconstituer ce calvaire, c'est avant tout pour qu'un juge ne relâche plus les pédophiles à la moitié de leur peine pour «bonne conduite» et sans autre forme de précaution...» |
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