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Auteur Routier, Marcelle ((1915-2001)) |
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Sursis pour l'orchestre / Fénelon, Fania
Titre : Sursis pour l'orchestre : Témoignage recueilli par Marcelle ROUTIER Type de document : texte imprimé Auteurs : Fénelon, Fania, Auteur ; Routier, Marcelle ((1915-2001)), Collaborateur Editeur : France Loisirs Année de publication : 1977 Importance : 396p Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7242-0070-6 Prix : 69.00 F Langues : Français (fre) Catégories : Histoires vraies & témoignages & reportages Résumé : Au camp d'Auschwitz, il y avait un orchestre de femmes dirigé par Alma Rosé (qui n'était autre que la nièce de Gustav Mahler). Les SS, entre deux séances d'exécution, prenaient plaisir à écouter la 5° Symphonie de Beethoven ou la Rêverie de Schuman. Que de courage il aura fallu aux femmes de l'orchestre pour ne pas sombrer dans la démence alors qu'elles accompagnaient en musique leurs sœurs d'infortune qui, tels des fantômes, partaient travailler, la peur au ventre. La faim, la maladie, l'épuisement et le désespoir devant l'inhumanité de la situation étaient, quelques minutes par jour, oubliés grâce à la musique…(oubliés ?), non, bien sûr que non, jamais l'oubli n'a été et ne sera de mise !
Comment des femmes sachant jouer d'un instrument auraient-elles pu renoncer à faire partie de cet orchestre où l'on avait droit à un morceau de pain supplémentaire et à des chaussures ?... Pour le reste, le sort était le même, pour toutes : le spectre quotidien de la mort avec cette question, toujours sans réponse… POURQUOI ?Sursis pour l'orchestre : Témoignage recueilli par Marcelle ROUTIER [texte imprimé] / Fénelon, Fania, Auteur ; Routier, Marcelle ((1915-2001)), Collaborateur . - France Loisirs, 1977 . - 396p ; 23 cm.
ISBN : 978-2-7242-0070-6 : 69.00 F
Langues : Français (fre)
Catégories : Histoires vraies & témoignages & reportages Résumé : Au camp d'Auschwitz, il y avait un orchestre de femmes dirigé par Alma Rosé (qui n'était autre que la nièce de Gustav Mahler). Les SS, entre deux séances d'exécution, prenaient plaisir à écouter la 5° Symphonie de Beethoven ou la Rêverie de Schuman. Que de courage il aura fallu aux femmes de l'orchestre pour ne pas sombrer dans la démence alors qu'elles accompagnaient en musique leurs sœurs d'infortune qui, tels des fantômes, partaient travailler, la peur au ventre. La faim, la maladie, l'épuisement et le désespoir devant l'inhumanité de la situation étaient, quelques minutes par jour, oubliés grâce à la musique…(oubliés ?), non, bien sûr que non, jamais l'oubli n'a été et ne sera de mise !
Comment des femmes sachant jouer d'un instrument auraient-elles pu renoncer à faire partie de cet orchestre où l'on avait droit à un morceau de pain supplémentaire et à des chaussures ?... Pour le reste, le sort était le même, pour toutes : le spectre quotidien de la mort avec cette question, toujours sans réponse… POURQUOI ?Réservation
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