| Titre : |
La fée carabine |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Pennac, Daniel, Auteur |
| Editeur : |
Gallimard |
| Année de publication : |
1989 |
| Collection : |
Folio num. 2043 |
| Importance : |
310p |
| Présentation : |
ill. couv. coul. et ill. texte noir et blanc |
| Format : |
18 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-038131-9 |
| Prix : |
30,00 F |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
Romans
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| Résumé : |
« Si les vieilles dames se mettent à buter les jeunots, si les doyens du troisième âge se shootent comme des collégiens, si les commissaires divisionnaires enseignent le vol à la tire à leurs petits-enfants, et si on prétend que tout ça c'est ma faute, moi, je pose la question : où va-t-on ? »
Ainsi s'interroge Benjamin Malaussène, bouc émissaire professionnel, payé pour endosser nos erreurs à tous, frère de famille élevant les innombrables enfants de sa mère, coeur extensible abritant chez lui les vieillards les plus drogués de la capitale, amant fidèle, ami in-faillible, maître affectueux d'un chien épileptique, Benjamin Malaussène, l'innocence même (« l'innocence m'aime ») et pourtant... pourtant, le coupable idéal pour tous les flics de la capitale.
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La fée carabine [texte imprimé] / Pennac, Daniel, Auteur . - Gallimard, 1989 . - 310p : ill. couv. coul. et ill. texte noir et blanc ; 18 cm. - ( Folio; 2043) . ISBN : 978-2-07-038131-9 : 30,00 F Langues : Français ( fre) | Catégories : |
Romans
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| Résumé : |
« Si les vieilles dames se mettent à buter les jeunots, si les doyens du troisième âge se shootent comme des collégiens, si les commissaires divisionnaires enseignent le vol à la tire à leurs petits-enfants, et si on prétend que tout ça c'est ma faute, moi, je pose la question : où va-t-on ? »
Ainsi s'interroge Benjamin Malaussène, bouc émissaire professionnel, payé pour endosser nos erreurs à tous, frère de famille élevant les innombrables enfants de sa mère, coeur extensible abritant chez lui les vieillards les plus drogués de la capitale, amant fidèle, ami in-faillible, maître affectueux d'un chien épileptique, Benjamin Malaussène, l'innocence même (« l'innocence m'aime ») et pourtant... pourtant, le coupable idéal pour tous les flics de la capitale.
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